Transfert

Sèchement battu par Chelsea (0-3), mercredi en Premier League, Leeds, 18e, se retrouve en grand danger avec une possible relégation en Championship. Une éventuelle descente qui pourrait faire les affaires du FC Barcelone, toujours en lice pour récupérer l’ailier Raphinha.

La fête est terminée à Leeds. Après une très belle saison 2020-2021, à l’issue de laquelle ils ont terminé à une solide 9e place en Premier League, les Peacocks pourraient à nouveau prendre l’ascenseur.

Malgré l’arrivée de Jesse Marsch en remplacement de Marcelo Bielsa, le club anglais est retombé dans ses travers en enchaînant trois revers de suite, pointant désormais à une dangereuse 18e place, synonyme de relégation. Une possible chute à l’échelon inférieur qui pourrait faire les affaires du FC Barcelone.

Une place pour Raphinha…

Désireux de remodeler sa ligne d’attaque, le club catalan cherche à conserver Ousmane Dembélé, en fin de contrat et en grande forme ces dernières semaines, et devrait renvoyer Adama Traoré, actuellement prêté, à Wolverhampton. Pour remplacer numériquement l’Espagnol, les dirigeants des Blaugrana courtisent toujours l’ailier Raphinha (25 ans). Rare satisfaction de la pénible saison de son équipe, le Brésilien, auteur de 10 buts et 3 passes décisives en 33 matchs en championnat, rêve de rallier le Camp Nou, lui qui a pour représentant l’ancienne gloire barcelonaise, Deco. Et pour cela, il a parfaitement anticipé les choses.

… qui a anticipé la chute de Leeds

Selon Sport, le joueur passé par le Sporting Portugal, en quittant Rennes pour Leeds à l’été 2020 pour 18,6 millions d’euros, a inséré une clause spéciale qui lui permettrait de faire ses valises contre un chèque de 25 millions d’euros dans l’hypothèse d’une descente. Un prix trois fois inférieur à sa clause libératoire et bien en dessous des 60 millions d’euros évoqués ces dernières semaines pour un possible transfert. Le malheur de Leeds pourrait donc faire le bonheur de Barcelone, où les décideurs croisent les doigts pour un scénario catastrophe chez les Peacocks. Les affaires sont les affaires.