Eaux usées-inondations-circulation : Une vie d’enfer à Dakar

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Ter, Brt, ponts, extension de routes.  Dakar étouffe avec des embouteillages   insupportables. Une situation aggravée par les pluies qui rendent la capitale et sa banlieue, quasi invivable.

Une des causes est sans conteste l’apparition de plusieurs chantiers simultanés. En venant de n’importe quel direction pour rallier Dakar, les usagers de la chaussée tombent sur des chantiers  de construction de routes, de ponts ou d’ extension du réseau routier.

Si ces opérations sont censées améliorer le cadre de vie des Dakarois, en attendant, elles sont sources de nuisances en tous genres – bruit, poussière, embouteillages… Et rendent même impraticables des pans entiers de la voirie, obligeant les automobilistes à faire des détours ou des parcours labyrinthiques. Trop de chantiers à la fois, en cours à Dakar créent trop de difficultés et agacent. Ne fallait-il pas  d’abord terminer un projet avant de commencer un autre ? N’importe quel usager de la voirie à Dakar peut constater les dégâts en termes de congestion qui se répercute dans toute la capitale. En

 

 

 

réalité, la politique du trop de chantiers a eu pour résultat de ralentir une baisse du trafic et de la pollution observable dans des proportions supérieures partout ailleurs à Dakar. Un embouteillage polluant est le premier désagrément rencontré par la population à cause de ces différents projets La logique est pourtant simple à comprendre: progressivement, les déplacements  deviennent impossibles à Dakar. En tout cas, si les victimes des désagréments  se liguaient au moment des élections pour constituer  un parti , leurs concurrents risqueraient d’être battus, à Dakar tellement sont nombreux ceux qui se plaignent.

 

 

 

 

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